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Suzuki Splash

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Avantages

  • Intérieur
  • Coffre
  • Chassis

Inconvénients

  • Moteur 3-cylindres
  • Consommation
  • Bruit du moteur

Splash

Le successeur de la Suzuki Wagon R visait le même public, mais a reçu un nom différent : Suzuki Splash. Comme sa devancière, c'était une jumelle de l’Opel Agila. Comme l'Agila, la Splash a dû faire son chemin dans notre pays en tant que super petit monovolume, principalement en ville, ou se contenter du statut de deuxième voiture.

Intéressé par l'Suzuki Splash

Suzuki Splash voiture d'occasion
Suzuki Splash offres concessionnaire

Bonnes raisons

  • Pour une petite voiture, la Suzuki Splash est certainement spacieuse à l'avant. Même à l'arrière, deux passagers sont à l'aise car vous êtes assis bien droit et la garde au toit est ample. De plus, les sièges arrière peuvent être abaissés en un clin d'œil, ce qui permet d'obtenir un plancher de chargement assez plat.

  • Nous ne voulons pas radier complètement le 1.0 3-cylindres, mais il était bien plus agréable de vivre avec le 1.2. Ce 4-cylindres fonctionne plus doucement et est assez vif (0-100 km/h en 12,5 s), grâce au faible poids de la Splash.

  • Si la Splash parvient également à se maintenir sur l'autoroute, c'est en partie grâce à sa suspension. La carrosserie relativement haute ne souffre guère de l'inclinaison, ni des vents latéraux. Si le kilométrage est vraiment élevé, il existe aussi un diesel.

  • On ne lui fait pas confiance et les objets longs ne sont rien pour la Splash, mais avec les sièges arrière à plat, on peut déplacer une petite chambre d'étudiant d'un seul coup. Les objets longs devront simplement aller sur le toit si nécessaire.

Tous les détails importants concernant la Suzuki Splash.

Suzuki était responsable du châssis et des moteurs pour le projet Splash/Agila, et les Japonais ont fait un travail très solide. Opel s'est surtout occupé du design du duo. Si le duo précédent était encore trop en carton, la dernière Splash parvient à se présenter comme un petit quasi-tout moderne. Suzuki a modifié ses moteurs à essence dans toutes sortes de petits détails pour souligner le caractère unique de la Splash, mais à la base, ils sont similaires aux sources d'énergie qui ont fini dans l'Agila.

Moteurs

La gamme commence avec le moteur à essence 1,0 litre 3-cylindres, qui développait 68 ch et 90 Nm et était équipé (en option) d'un système start-stop. Il a enregistré une consommation de 5,0 l/100 km et des émissions de CO2 de 106 g/km. Elle n'est finalement pas venue en Belgique.

Est arrivé : le 1.2, un 4-cylindres avec une consommation moyenne de 5,0 l/100 km et des émissions de CO2 de 115 g/km. Le bloc répondait à la norme Euro 5 et développait une puissance de 94 ch et 118 Nm. Comme le 3-cylindres, il recevait une injection indirecte multipoint, mais avec un taux de compression légèrement augmenté, il était un peu plus économique.

Troisième du nom : le 1.3 CDTI d'Opel même (bien que la version de base provienne du groupe Fiat). Il développait 70 ch, mais avec 170 Nm, il était le plus efficace et, avec une consommation moyenne de 4,5 l/100 km, également le plus économique.

Dimensions

Le Splash mesure 3,72 mètres de long, 1,68 mètre de large et 1,59 mètre de haut, avec un empattement de 2,36 mètres, un coffre de 187 litres à 1 000 litres et un réservoir de 45 litres. Cela vous permettra de parcourir au moins 900 kilomètres avec le Splash. Avec une transmission automatique, la Splash pèse 1 105 kilogrammes, avec la transmission manuelle à cinq vitesses 1 065 kilogrammes.

Versions

Entre 2008 et 2014, il y a eu deux Splash. En effet, en 2012, la Suzuki a reçu un facelift, comportant principalement un nez légèrement modifié. Outre la version de base GA (Grand Advantage), Suzuki a également construit une version GLS de la Splash, avec un équipement de série plus luxueux.

Prix neuf et d'occasion

Suzuki n'allait pas délibérément maintenir ses prix plus bas que ceux de l'Agila : les prix catalogue étaient similaires. Seule Suzuki Belgique a maintenu une politique de rabais. Officiellement, la Splash 3-cylindres coûtait environ 10 000 € à l'état neuf, la 4-cylindres en finition GLS 13 000 € avec le Pack Elegance. Un autre 4 000 euros a été ajouté pour l'automatique. Pour le diesel, vous avez payé 14 599 €. C'est relativement beaucoup d'argent pour une petite voiture. D'autant plus qu'après environ sept ans, il ne reste plus grand-chose de ce montant sur le marché de l'occasion. Le Splash le plus jeune date de 2014 et coûte encore environ 5 000 euros en moyenne. Le diesel ou l'essence n'a pas une grande incidence sur le prix demandé.

Points forts du design et intérieur

Extérieur

Opel aimait faire savoir au monde qu'il s'était occupé lui-même de la conception de l'Agila/Splash. Le fait que l'Agila/Splash était sur le châssis raccourci de la Swift était alors moins mis en avant. La voiture est également devenue moins anguleuse et sa ligne de toit est plus étroite que sa largeur de voie, rendue encore plus distinctive sur les flancs par les passages de roue bombés à l'arrière. A l'avant aussi, Suzuki a clairement mis des accents différents, les phares étant ensuite sensiblement les mêmes que ceux de la Opel.

Intérieur

Comme l'Agila, la Splash a reçu un tachymètre plumpy en haut du tableau de bord. En effet, le tableau de bord ne laissait pas beaucoup de place pour autre chose que la grande horloge ronde avec compteur de vitesse et quelques affichages secondaires. Une console centrale soignée avec radio, chauffage et levier de vitesse complète l'avant. Les sièges sont à la hauteur de leurs caractéristiques, la banquette arrière (selon Suzuki, bonne pour trois passagers, en pratique plutôt deux) est rabattable. En somme, un intérieur soigné qui laisse entrer une quantité surprenante de lumière et offre de l'espace et des options de rangement.

Aide à la conduite et sécurité

En 2008, Euro Ncap a testé la Suzuki Splash, qui a été construite dans la même usine hongroise que l'Agila. Le Splash a obtenu un score surprenant : quatre étoiles, avec une excellente protection des enfants et des piétons. À l'époque, les assistants de sécurité n'étaient pas convaincants, et le Splash n'en a pas non plus. Les airbags existaient, quatre au total, et l'ABS était considéré comme une évidence, même dans les petites voitures de l'époque.

Alternatives

Opel, bien sûr, avec l'Agila, la Hyundai i10, plus grande mais tout aussi bon marché : Dacia Sandero. Plus amusante est la Fiat Panda (surtout son 4x4). D'autres alternatives existent sous la forme de la Renault Modus, de la Nissan Note ou Cube, et de la VW Lupo. Tout aussi petits mais moins pratiques : les triplés C1, Aygo, 107. Elle grouillait de petites voitures à l'époque.

FAQ

Pourquoi n'avons-nous pas eu un 1,0 litre 3-cylindres ?
L'importateur belge a décidé que la différence de prix entre le trois et le 4-cylindres essence n'était pas assez importante pour l'inclure dans la gamme.
Le 1.2 essence et le 1.3 diesel sont presque dans le collimateur l'un de l'autre. Qui a l'avantage ?
Le Splash est surtout utilisé pour les courtes distances. C'est là que le moteur à essence 1.2 a l'avantage.
La boîte de vitesses automatique est-elle recommandée ?
L'automatique a quatre vitesses. Dans notre circulation trépidante, ce n'est pas trop. Mais ça vous libère de la pédale d'embrayage.

Avis sur le véhicule Suzuki Splash

10 Évaluations

4,3