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- Toyota Carina E
Avantages
- Spacieuse
- Technologie indestructible
- Boîtes de vitesses fines
Inconvénients
- Suspension peu raffinée
- Sensation de direction vague
- Fiabilité freinage
Intéressé par l'Toyota Carina E
Bonnes raisons
L'histoire de la Carina remonte à 1970, et toutes ces années suivantes, la voiture a changé d'apparence mais pas de caractère. La Carina (E) a donc également dû compter sur une conduite sans problème.
Si votre voiture doit durer, l'intérieur doit être capable d'encaisser les coups, et Toyota a réussi là aussi. Les matériaux et les revêtements ont été choisis pour résister à toutes les tendances et à l'usure.
La Carina E a été proposée simultanément avec différents moteurs et différents styles de carrosserie. Quel que soit le Carina choisi, il y avait de la place pour 5 adultes et leurs bagages.
Pour l'époque et dans sa catégorie, la Carina E était une voiture silencieuse, on entendait à peine le moteur et les bruits de roulement et de vent étaient également très bien tenus à l'écart de l'habitacle.
Détails clés
L'ajout du E, qui ressemblait étrangement au symbole de l'euro, signifiait "Europe". La Carina E a été la première voiture que Toyota a construite en dehors du Japon, plus précisément en Grande-Bretagne. Les connaisseurs ont affirmé que les Carina britanniques n'atteignaient pas la qualité des Carina japonaises.
Moteurs
En ce qui concerne les moteurs essence, ceux de la Carina E se sont avérés très modernes. Ils étaient dotés d'arbres à cames en tête, de 16 soupapes et d'une injection multipoint. En termes de capacité, ils allaient de 1,6 litre à 2,0 litres et étaient tous des 4-cylindres en ligne transversaux. La puissance est passée de 99 ch à 133 ch.
Pour le diesel, il y avait d'abord un D ordinaire de 73 ch, puis un DT de 99 ch, également des 4-cylindres en ligne. La puissance était transmise aux roues avant par l'intermédiaire d'une boîte manuelle à 5 rapports ou d'une boîte automatique à 4 rapports avec convertisseur de couple traditionnel.
La Carina E avait des moteurs essence construits selon le principe de la « combustion propre ». C'est-à-dire qu'on ajoute plus de parts d'air pour une même part d'essence. Cela permettait de réduire la consommation au détriment des performances, mais à partir d'un certain régime, le moteur passait automatiquement au mélange classique.
Dimensions
La berline mesurait 4,53 mètres de long, 1,7 mètre de large et 1,41 mètre de haut avec un empattement de 2,59 mètres. Il pesait au maximum 1 130 kg. Le break avait une différence de quelques millimètres ici et là. Il était cependant légèrement plus lourd, avec 1 220 kg. Avec un moteur diesel, il pese 1 308 kg sur la balance. En bref : aussi différentes que soient les carrosseries, les dimensions et les poids ne diffèrent guère. Le coffre de la berline peut contenir de 470 à 1 250 litres, celui de la berline 5-portes plus de 500 litres et celui du break de 485 à 1 300 litres. Le réservoir pouvait contenir 60 litres de carburant, ce qui permettait au diesel de parcourir au moins 1 000 km.
Variantes
La Carina E dans sa phase finale, en plus des 3 variantes de carrosserie et des versions de moteur, avait également trois niveaux d'équipement : la GTi (175 ch, oui), la GLI (où les vitres teintées et les lève-vitres électriques étaient de série, les freins ABS) et la version standard. En dessous, il y avait une autre XLi, mais selon la coutume japonaise, elle avait encore un équipement de base décent.
Prix
Le dernier prix neuf de la Carina E moyenne à moteur diesel a été converti en 18 000 €. D'occasion, étonnamment, il en reste entre 3 000 et 5 000 € et le kilométrage est à peine discuté. Recherchez la provenance, car bien que la Carina E ait été principalement achetée par des particuliers en Belgique, elle était populaire auprès des sociétés de leasing et de taxi dans le reste de l'Europe.
Design
Extérieur
La berline en particulier pourrait provoquer une certaine animosité dans les rues, mais même là, tout est resté modeste. Avec le nouveau logo Toyota sur le capot, une calandre rappelant celle de Rover, des pare-chocs de couleur carrosserie, des bandes de protection tout autour et des roues de 15 pouces, la Carina était une voiture japonaise typique des années 1990. Elle ne s'est pas démarqué, mais elle n'a pas déçu non plus.
Intérieur
Un commutateur d'allumage ou un tableau de bord avec trois compteurs analogiques, où voit-on cela de nos jours ? La console centrale était principalement remplie de bouches de ventilation. En outre, une radio et une unité de chauffage/ventilation en dessous. Ceux qui peuvent s'étendre un peu plus peuvent opter pour une finition intérieure en (faux) bois. Les sièges étaient pour s'asseoir, la banquette arrière pour s'asseoir, qui était pliable dans la 5-portes et le break. La tapisserie de chacun d'entre eux était d'une variété austère.
Sécurité
La Carina E était si invisible que même Euro NCAP l'a négligée. La voiture n'a donc pas été testée sur le plan de la sécurité, et c'est peut-être aussi bien ainsi, car elle a dû se contenter du strict minimum en matière de sécurité active. Certaines versions étaient équipées de freins ABS et les airbags ont été ajoutés avec parcimonie au cours des dernières années. Cependant, avec leurs zones de déformation, les voitures japonaises n'ont jamais été en tête de file à l'époque.
Alternatives
On pourrait presque dire que le Carina E joue dans son propre département. Les Européens étaient plus inventifs (Citroën Xantia), ou avaient un meilleur prestige (Volkswagen Vento). Même la Nissan Primera a traversé la vie en étant moins anonyme et en voulant nécessairement passer pour une voiture de pilote.